Et si...

Une envie soudaine d'écrire.

Cher journal, cela fait un bon moment que je n’ai rien publiée. Je pense que mon cerveau à bien trop d’informations à traiter en ce moment pour le faire correctement. Pourtant, je suis certaine que si je commençais par ne serait-ce qu’une pensé aussi décousu soit-elle, il serai difficile de m’arrêter dans mon élans. Je finirai certainement par en perdre le fils… D’ailleurs ne l’ai-je pas déjà perdu ?

S. ne me donne plus de signe de vie depuis quelques mois. C’est un peu comme mon meilleur ami, même si lui me considère d’avantage comme la petite soeur qu’il n’a jamais eut. Peut-être dois-je lui laisser du temps ?
Je sais, dû à nôtre dernière conversation, que les choses sont compliqués pour lui en ce moment. Il n’aime pas trop en parlait et je ne veux pas le forcer. Mais je m’inquiète quand même pour lui.

J’ai découvert que la petite bande de "Je me mêle des affaires des autres et j’en suis fier/fière" viennent passé l’été dans le coin. Autant dire que cela ne me réjouis guère, j’essaie donc de ne pas y penser avant que ce jour n’arrive…

J’ai aussi appris que l’un de mes oncles était à l’hôpital à cause du coco qui pollue l’atmosphère depuis quelques temps. Je l’ai appris par le biais de ma soeur qui le sait grâce au réseaux sociaux (je ne suis pas très fan des réseaux sociaux).
C’est bizarre d’apprendre ce genre de nouvelle importante de cette manière. Je crois que je ne m’y habituerai jamais… J’ai l’impression que plus les gens sont connectés, plus il se détachent d’une partie de leurs humanité, l’empathie. Vous trouverez peut-être que mes paroles sont un peu fortes mais c’est simplement mon ressentie. Je me trompe peut-être… Je précise tout de même que cela ne vaut pas non plus pour tout le monde.
Dans tout les cas personnes n’a juger bon de nous tenir au courant de la situation car depuis plus de nouvelles. Il paraît que ses bon signe, je vais m’en convaincre pour l’instant.

Je vais m’arrêter là pour ce soir, sinon je vais me déprimer toute seule. Ce serai un comble alors que je m’evertue depuis quelques temps à "l’optimisme en toutes circonstances" qui consiste à voir toujours le côté positive des choses même quand il semble ne pas y en avoir. Parfois, faut juste bien creuser. Mais vraiment bien creuser.